A l’entame, Mamadou Aliou Sow, le Commissaire général du salon a fait remarquer que cette huitième édition, quoiqu’ayant pour pierre angulaire le livre numérique, sera l’occasion de montrer au grand public, aux élèves, aux enseignants, aux parents et aux acteurs de la chaîne, des livres sur format papier, numérique, audio et braille.
Pour sa part, Luc Brillard, ambassadeur de France en Guinée, brièvement vanté les liens culturels entre la France et la Guinée. En tant qu’ambassadeur, mais aussi passionné du dialogue culturel, il s’est dit ravi de contribuer à ce projet qui touche autant d’enfants et de jeunes.
Quant au ministre de la Culture, du tourisme et de l’artisanat, Moussa Moïse Sylla, il réaffirmé le soutien de son département à ce projet ambitieux et prometteur.
« Nous mettons en place des actions pour pérenniser et enrichir l’expérience littéraire en Guinée, avec des initiatives comme le prix littéraire des lycéens, la rentrée littéraire et le grand prix littéraire du président de la République », a-t-il ajouté.

Il faut dire que près de 150 écoles primaires et secondaires prennent part à cette fête dédiée aux livres de jeunesse. Jusqu’au 9 novembre, tables rondes, activités pour le jeune public, rencontres avec des auteurs et ateliers professionnels se succéderont pour faire de Conakry la capitale africaine de la littérature jeunesse.
Cherif Sylla